La tour Eiffel, bâtie en 1889 pour l’exposition universelle et surnommée demoiselle de fer, est illuminée moins longtemps.

Depuis 2000, la tour est illuminée le soir toutes les heures durant 10mn par environ 20 000 ampoules clignotantes. La mairie de Paris et la Société d’Exploitation de la Tour Eiffel (SETE) ont décidé de réduire ce temps d’éclairage de moitié. Les responsables de la tour précisent que cette mesure n’est pas appliquée pour économiser des frais d’électricité mais pour montrer l’exemple au niveau protection de la nature. Le message reste malgré tout de nature symbolique, car les 20 000 petites ampoules ne consomment que très peu d’énergie.

Beaucoup voient dans le geste une action positive censée rappeler l’importance de la protection de la nature.

Le groupe hôtelier de luxe Jumeirah, basé à Dubaï et comptant dans son portefeuille l’hôtel le plus haut du monde et en forme de voilier, le Burj Al Arab, a décidé de se lancer dans l’ouverture accélérée de nouveaux hôtels.

Le groupe, dont la détermination n’a pas été ralentie par la crise financière, a annoncé l’ouverture de cinq nouveaux hôtels au Moyen-Orient et en Asie du Sud-Est. Les hôtels de première classe seront situés au Koweit, à Oman, à Bahrein aux Maledives et en Indonésie.

La bataille des tours à Dubaï continue. Chris O’Donnell, chef de la société nationale Nakheel, a annoncé la semaine dernière la construction d’une nouvelle tour qui sera plus élevée que le projet Burj Dubaï de la firme concurrente Emaar Properties.

La tour Burj Dubaï se trouve en ce moment en construction et devra compter 160 étages. La tour est déjà haute de 690m, sa hauteur définitive reste cependant secrète. Le gratte-ciel projeté par Nakheel doit, lui, atteindre avec 200 étages une hauteur de plus de 1km, ce qui jusqu’alors était considéré comme impossible autant au plan financier que physique.

Les fondements ont été posés et la construction de la tour devrait durer dix ans. Celle-ci formera le centre d’un nouveau quartier, qui comprendra des ports et quarante autres gratte-ciel de hauteur jusqu’à 90 étages.

Les circonstances mystérieuses de l’incident de la compagnie australienne Quantas sont éclairées.

La semaine dernière, un Airbus A 330-300 portant 303 voyageurs avait perdu rapidement de l’altitude. Environ 40 passagers avaient été blessés par des bagages ou en cognant au plafond de la cabine. La raison de l’incident: une panne de l’ordinateur. Celle-ci fut à l’origine de données fausses reçues par le système informatique du Cockpit, provoquant l’arrêt du pilotage automatique et donc la perte d’altitude. Selon des témoignages, tout était sens dessus-dessous dans la cabine après la courte chute libre. Toutes les lignes aériennes possédant des A 330-300 ont été averties.

La raison de la panne d’ordinateur reste encore inconnue, mais les spécialistes étudient l’incident.